La durée de vie des filaments

Bonjour à tous,

Je suis entrain de préparer ma saison, profitant du peu de soleil, je souhaite mettre à profit ce temps pour finaliser mes derniers montages et achats.
Mais voilà, une question me taraude, le fil des moulinets est-il périssable ? ma question est peut être bête mais je préfère investir utilement plutôt que dans le vent

Merci par avance les gens

ça tien traquilo 2 saisons hors riviere pour moi, mais je change tous les ans en printemps..

En général,le nylon d'une bobine se change tous les ans,voir 2 ans max.car déjà au bout d'une saison,des faiblesses multiples apparaissent sur les 50 voir 100 premiers mètres, ceux qui sont les plus régulièrement sortis en action de pêche, en somme.cela se caractérise par des sections éméchées,râpées, qui tôt ou tard cassent sur un combat ou un lancer appuyé.

Si tu choisis la tresse,celle ci plus résistante ne se change que tous 6-7 ans en moyenne, ou se "retourne"  plutôt (car souvent neuve ou presque sur les spires jamais dévidées.

pas mieux!

Les intervenants ont raison : tous les deux ans par sécurité, surtout si tu sors souvent ! on est jamais à l'abri d'une casse inexpliquée d'un corps de ligne en nylon; après si tu pêches peu, que tu prends peu, et/ou que tu utilises du 60 centièmes, ça tiendra plus longtemps...
C'est l'exposition aux ultra violets et les frottements répétés qui usent le plus fortement le nylon, mais l'étirement du fil lors des combats est aussi à prendre en compte dans la périodicité du remplacement : un nylon déjà étiré a perdu de son élasticité, et lors d'un nouveau combat il sera moins performant, surtout dans les petits diamètres.

René a écrit:

 après si tu pêches peu, que tu prends peu, et/ou que tu utilises du 60 centièmes, ça tiendra plus longtemps...

ça me rappelle qui ça...??

Toi tu cherches les ennuis

Perso, nylon, c'est tout les ans, tresse 5-6 ans.

carpa a écrit:

Toi tu cherches les ennuis

pour quoi tu dis ça?

J'sais pas,une intuition

Seb a écrit:

René a écrit:

 après si tu pêches peu, que tu prends peu, et/ou que tu utilises du 60 centièmes, ça tiendra plus longtemps...

ça  me rappelle qui ça...??  

C'est du vécu...les capots à répétitions favorisent la durée de vie des filaments : une fois bien rangés dans un fourreau, ils souffrent beaucoup moins qu'exposés aux aléas climatiques
à part ça, tu connaitrais donc un spécialiste du beau capot bien net et bien propre ? ( un nom...)

Sati a écrit:

tu connaitrais donc un spécialiste du beau capot bien net et bien propre ? ( un nom...)

Euuh moi ? cf "ma signature"

René a écrit:

Seb a écrit:

René a écrit:

 après si tu pêches peu, que tu prends peu, et/ou que tu utilises du 60 centièmes, ça tiendra plus longtemps...

ça  me rappelle qui ça...??  

C'est du vécu...les capots à répétitions favorisent la durée de vie des filaments : une fois bien rangés dans un fourreau, ils souffrent beaucoup moins qu'exposés aux aléas climatiques
à part ça, tu connaitrais donc un spécialiste du beau capot bien net et bien propre ? ( un nom...)

René, j'suis pas une balance !

Sati a écrit:

Sati a écrit:

tu connaitrais donc un spécialiste du beau capot bien net et bien propre ? ( un nom...)

Euuh moi ? cf "ma signature"

Salut Sati,

A propos des capots, qui font partie intégrante de notre pêche, on en a entendu de bonnes !
Par exemple ce vieil adage qui courrait sur l'eau pendant un temps : " c'est en capotant qu'on apprend" !
En multipliant les capots on apprend surtout à revendre du matos sur le bon coin...
Le parfait capot ( c'est à dire le calme plat, sans aucune touche, ni activité de poissons) est un état de grâce dans lequel se complaisent les pêcheurs en général, et les carpistes en particulier.
A croire que la poésie du chant de l'eau et des oiseaux réussit à assouvir les esprits volages de ceux qui ont pourtant tout mis en oeuvre pour capturer des carpes.
Notamment ceux qui n'ont pas dormi la nuit précédent la pêche, la tête pleine de carpes dorées aux tailles démesurées, élaborant leurs stratégies d'amorçage tout en cherchant un sommeil qui ne viendra pas...
Comateux et fébriles, on les retrouve au bord de l'eau, grelottants dans le petit matin, mais armés d'une motivation qui ferait pâlir un champion de tennis.
Pourtant le capot c'est aussi l'occasion de cogiter à ce qu'il aurait fallut faire, ou s'abstenir de faire, ou même plus simplement, admettre que la science qu'il nous aurait plu de maîtriser n'existe pas...
La pêche de la carpe sauvage est une activité à risques : l'overdose de capots tue son homme, sinon le prive de tout jugement objectif sur le rendement de la pêche de loisir, et l'incite même quelquefois à renoncer.
Ite missa est,
Amen...

René a écrit:

Sati a écrit:

Sati a écrit:

tu connaitrais donc un spécialiste du beau capot bien net et bien propre ? ( un nom...)

Euuh moi ? cf "ma signature"

Salut Sati,

A propos des capots, qui font partie intégrante de notre pêche, on en a entendu de bonnes !
Par exemple ce vieil adage qui courrait sur l'eau pendant un temps : " c'est en capotant qu'on apprend" !
En multipliant les capots on apprend surtout à revendre du matos sur le bon coin...
Le parfait capot ( c'est à dire le calme plat, sans aucune touche, ni activité de poissons) est un état de grâce dans lequel se complaisent les pêcheurs en général, et les carpistes en particulier.
A croire que la poésie du chant de l'eau et des oiseaux réussit à assouvir les esprits volages de ceux qui ont pourtant tout mis en oeuvre pour capturer des carpes.
Notamment ceux qui n'ont pas dormi la nuit précédent la pêche, la tête pleine de carpes dorées aux tailles démesurées, élaborant leurs stratégies d'amorçage tout en cherchant un sommeil qui ne viendra pas...
Comateux et fébriles, on les retrouve au bord de l'eau, grelottants dans le petit matin, mais armés d'une motivation qui ferait pâlir un champion de tennis.
Pourtant le capot c'est aussi l'occasion de cogiter à ce qu'il aurait fallut faire, ou s'abstenir de faire, ou même plus simplement, admettre que la science qu'il nous aurait plu de maîtriser n'existe pas...
La pêche de la carpe sauvage est une activité à risques : l'overdose de capots tue son homme, sinon le prive de tout jugement objectif sur le rendement de la pêche de loisir, et l'incite même quelquefois à renoncer.
Ite missa est,
Amen...

Sors de ma tête !

Non plus sérieusement, (cf ma signature) j'était parti m'évader, casser la routine, j'avais besoin d'être seul.

Malgré cela, malgré le capot et avoir cogiter pour prendre ne serait-ce qu'un poisson, eh bien ça fait réfléchir et pas que sur notre pêche.

Enfin n'étant pas dans le bon sujet j'abrège, au plaisir de pouvoir en parler dans un autre sujet.

Et Amen