- antoine85 a écrit:
- Une fois de plus nos politiciens nous prouvent leurs décalages avec la réalité....trou d'balle jusqu'au bout...!
Eu égard à mon grand âge, certes tout relatif, je ne peux pas participer à cette discussion en étant aussi abrupts que vous, messieurs
D'ailleurs les propos qui vont suivre tiennent plus de l'analyse d'urine que de l'analyse politique...
Ayant vu à la manœuvre les gouvernements de DE GAULLE, POMPIDOU, GISCARD, MITTERAND, ceux du grand Jacques et du petit Nicolas, je ne peux plus, comme vous autres, faire semblant de ne pas savoir que nos hommes politique sont carriéristes avant d'être à notre service !
Ni d'être surpris par l'absence de gestion pérenne de la part d'hommes ( et de femmes) qui ne sont là que pour un mandat, et qui savent donc par avance que leurs actions n'auront pas de prise sur l'évolution d'un monde dirigé en réalité par la finance.
La même finance qui se gausse des enjeux sociétaux et du candidat président qui lui a pourtant promis une "taoua" en règle.... D'ailleurs tout le monde aura pu constater qu'en guise de "tannage de cul", les financiers auront eu droit au tapis rouge (ou rose si vous voulez), pour avoir notamment contribué à une croissance économique positive, au lieu d'avoir laisser notre patrie sombrer dans le côté obscur de la déflation.
Honte à nous pauvres terriens, avides de développement inflationniste et de biodiversité, en lieu et place de servitude et de labeur...D'ailleurs méfiez vous des candidats qui veulent remettre la France au travail, faut traduire avant de voter...
Ce qui est terrible c'est qu'ils savent tout ça bien avant de se présenter: la candidature à la présidence est donc de ce fait un acte volontairement orienté vers le développement personnel, qu'on se le dise...au lieu de se lamenter.
Ce qu'ils savent aussi avant de se présenter, c'est que tout le monde se fout de tout, sauf de sa bourse ( j'aurais pu dire aussi : de ses bourses ) ! Pour gouverner c'est bon à savoir : comme le principe de la gouvernance n'a rien à voir avec la multiplication des pains et le partage des couvertures, il faut savoir déshabiller Paul, pour habiller Jacques quand celui-ci a vraiment trop froid, et faire l'inverse dès que Jacques va un peu mieux.
En gérant ainsi les aspect socio-économiques on tient un mandat à l'aise, voir deux pour les plus doués ! Rigolez pas, c'est vous qui payez...
Evidemment, toute amalgame entre ce que je viens de décrire et une quelconque réalité ne peut être fait, d'ailleurs ce message s'auto-détruira dès que j'aurai le ventre plein...